Histoire des Vatimbella

Venise, Paros, Alexandrie, Monaco, Paris, les lieux principaux de la famille Vatimbella
arbre généalogique d'Alexandre Vatimbella


Les six dernières générations de Vatimbella sont nées dans des pays différents.
Aristarque est né en Grèce (Paros). Son fils, Nicolas, est né en Turquie (Istanbul). Le fils de ce dernier Aristarque est né en Egypte (Alexandrie). Les fils d'Aristarque, Nicolas et Alexandre sont nés à Monaco (Monaco). Leurs enfants sont nés en France (à Paris). La petite-fille d'Alexandre, fille d'Alexandra, Calysta est née en Côte d'Ivoire (Abidjan).

Le nom de Vatimbella est italien. En réalité, le nom originel est Vatibela  ou Vatibella (de bella, belle en italien ou de bellum guerre en latin, "vati bella" signifiant "les guerres du poète"). Même si l’étymologie du nom demeure encore largement mystérieuse, la famille est d'origine "franque", c'est-à-dire, selon la terminologie byzantine, des catholiques venant de l'Ouest de l'Europe. Elle s'établit à Venise ou dans ses colonies à une date indéterminée. 

Si elle est peut-être allée en Crète, on la retrouve sûrement sur l’île grecque de Paros, une des Cyclades où elle arrive vers la fin du XVI° siècle. Son nom, en grec, s'écrit Βατιμπελλας ou Βατιμπελας (parfois sans le s final).

Pierre tombale de Visconti Vatibella
Une pierre tombale dans le monastère de Saint-Jean-le-Théologien indique qu'un Visconti Vati(m)bella, sans doute le premier à s'établir sur l'île, y est mort en 1611. Il était évéque catholique et a construit et fondé ce monastère situé dans le village de Krakia qui se trouve à quatre kilomètres de Naoussa. Ce monastère qui existe toujours, est demeuré la propriété familiale jusqu'en 1859, date à laquelle Nicolas Vati(m)bella (l'arrière-arrière-grand-père du narrateur l'a vendu).

Un document de 1740 mentionne  un Vati(m)bella dont le prénom était Nicolo, un prénom toujours italien (lire ici). En effet, les Vénitiens formaient dans les îles grecques, où ils étaient (ou avaient été) les colonisateurs, des communautés autonomes, fermées aux populations locales et qui voulaient se distinguer de ces dernières par certaines traditions. Ainsi, les noms et prénoms de ses membres demeuraient italiens et leurs enfants se mariaient entre eux, même après que l’île soit passée sous domination ottomane, russe et grecque.

Toujours est-il que les Vati(m)bella demeurèrent à Paros, furent d'abord des vénitiens établis sur l'île puis des Roumis (chrétiens orthodoxes de l'Empire Ottoman puisqu'il n'existait pas et n'avait jamais existé une nationalité grecque) et devinrent enfin des Grecs lors de l'indépendance et l'établissement d'un pays nommé Grèce, ainsi que de riches propriétaires terriens. Et ils se marièrent sans doute ensuite avec des femmes aux noms grecs. Encore que Nicolas Vati(m)bella qui naquit en 1798, prit pour femme une dénommée Calypso Valsami dont la famille pouvait être originaire, du fait de son nom, de Venise ou de Gênes, plus sûrement, et s'était établie sur l’île. D’ailleurs, on l’appelait «Kokona» Calypso, titre que l’on donnait seulement aux archontes.

Les Vati(m)bella s’établirent dans les différentes localités de l’île (d'abord Naoussa puis Parikia, Marpissa, etc.) remplissant différents emplois et charges, comme celles d’éparque (genre de préfet) ou de maire. Un village du nom de Dryos était connu pendant longtemps comme étant «celui des Vati(m)bella». Ce village avait des vignes ce qui signifie sans doute que la famille en possédait. Le village de Marpissa était également connu pour appartenir aux Vati(m)bella et plusieurs membres de la famille en furent maire. Sur l’île, le 20 juillet était le jour de la fête des Vati(m)bella. Et l’église familiale s’appelait Prophète Elias. Jusqu'en 1859, la famille était propriétaire du monastère Saint-André à Naoussa.

Les membres de la branche familiale directe demeurèrent à Paros jusque vers les années 1850 où Aristarque (Aristarchos) Vati(m)bella (qui naquit à Marpissa en 1837), partit faire ses études à Athènes puis s’en alla à 17 ans à Constantinople (Istanbul), comme attaché à l’ambassade de Grèce en Turquie avant d’y devenir conseiller. C’est là que naquit Nicolas (Nikolaos) Vati(m)bella en 1879 (à noter que les aînés portaient les prénoms de leur grand-père ce qui faisait des lignées Nicolas-Aristarque-Nicolas-Aristarque, etc.).

Ensuite, ayant donné à ses sœurs les terres et les biens qu’il possédait encore à Paros, il s’en alla en Egypte avec sa femme, une Pappas originaire de Macédoine (de la ville de Verria) qu’il avait rencontrée en Turquie et dont le grand-père avait été pendu, au côté du patriarche de Constantinople, Grigorios, par les Turcs lors des émeutes pour l’indépendance en 1821 (lire ici).

A noter qu'une autre partie des Vatibella (ou Vatibela) quittèrent Paros au début du XX° siècle pour s'établir sur l'île de Syros où ils sont toujours.Et l'on trouve des Vatibella (Vatibela) dans d'autres villes de Grèce, comme Athènes, mais aussi aux Etats-Unis, notamment dans l'Etat de New York et dans celui du New Jersey.

En Egypte, Aristarque s’établit à Tanta, une ville du Delta du Nil entre Le Caire et Alexandrie, où il demeura diplomate (Consul Honoraire) jusqu'à ce qu’une loi grecque exige des diplômes spécifiques pour pouvoir exercer ce métier. Alors, il se tourna vers le barreau et devint avocat, toujours à Tanta, avant d’aller s’établir quelques années plus tard à Port Saïd puis, définitivement, à Alexandrie, en 1886, où il devint juge et où il mourut en 1911. A noter qu’Aristarque fut décoré par le gouvernement égyptien pour son activité lors d’une épidémie de choléra, qui, en outre, lui décerna le titre de Bey.

C'est sans doute à ce moment-là ou peut-être à l'époque de son fils, Nicolas, que le nom de Vatibella (ou vatibela) change et devient Vatimbella. Si les raisons exactes semblent inconnues pour l'instant, il faut souligner qu'en grec le m (μ) et le p (π) accolés se prononcent "b" (il n'y a pas de lettre se prononçant b dans l'alphabet grec puisque la deuxième lettre de celui-ci Β se prononce vita). Dès lors, on peut penser qu'en latinisant son nom, Aristarque (ou Nicolas) a choisi Vatimbella tout en gardant en grec l'orthographe Βατιμπελλας qui se prononce "vatibellas". Le problème est qu'en latinisant littéralement le nom on devrait obtenir Vatimpella (ou Vatimpela) et non Vatimbella ce qui est une sorte d'hybridation entre une latinisation du nom écrit en grec et le nom originel vénitien. C'est d'ailleurs ce qui s'est passé pour d'autres branches de la famille qui s'appellent en écriture latine, Vatimpela. Il se peut aussi que les autorités égyptiennes ou britanniques qui occupaient alors l'Egypte ont écrit dans une traduction officielle Βατιμπελλας, Vatimbella, et que la famille a décidé de garder cette orthographe. Toujours est-il que le nom Vatimbella, de ce fait, est excessivement rare et se limite désormais à Nicolas (né en 1956) et Alexandre (né en 1958) ainsi qu'à leurs enfants!

Nicolas Vatimbella & son fils Aristarque
Nicolas Vatimbella (1879-1957), fit ses études de droit à Athènes puis devint avocat à Alexandrie en 1900 auprès des tribunaux mixtes où il posséda le plus important cabinet qui traitait des questions maritimes notamment de la navigation sur le canal de Suez jusqu’en 1957, année de sa mort. Il fit fortune, fut président de l’importante communauté hellénique d’Alexandrie (en 1948), fut consul de Grèce à Chypre pendant la première guerre mondiale (lire ici), refusa ensuite de devenir ambassadeur de Grèce aux Etats-Unis en 1918. De même, il refusa quelques années plus tard de devenir ministre dans le cabinet de Vénizélos, alors premier ministre. Il avait un frère, Anastase (dit Tasso), qui fut également avocat et une sœur, Calypso. Aucun de deux n'eurent d'enfants. (Pour plus d'information sur la famille Vatimbella cliquez ici)

Nicolas Vatimbella se maria avec Marietta Gripari (1881-1966). De la famille Gripari, nous avons beaucoup d’informations. C’est une très grande famille en nombre et elle s’est établie dans de nombreux pays (Grèce, Italie, France, Egypte, Suisse, Grande Bretagne, Etats-Unis, etc. et même en Russie, plus spécifiquement en Ukraine alors territoire russe, où un Nicolaos Gripari, né en 1848, créa des fabriques de porcelaine et cette branche de la famille fut anoblie par le Tsar Nicolas II en 1904, peu avant la Révolution de 1917…). Selon le journal héraldique de Venise qui fit une étude sur la famille, le nom viendrait de Sicile et signifierait constructeurs ou propriétaires de bateaux ou armateurs. On retrouve ensuite les Gripari à Koroni (Coron en français, Corone en italien) dans le Péloponnèse, alors colonie de Venise. C’est là que la famille obtient sa naturalisation vénitienne comme cela était possible si l’on vivait dans les colonies de la Sérénissime et que l’on remplissait un certain nombre de conditions.

Marietta Vatimbella née Gripari
Les Gripari y demeurèrent jusqu'à l'arrivée des Ottomans en 1498 puis décidèrent de la quitter pour se réfugier en Crète, dans la ville de La Canée, jusqu’à ce que l’île soit envahie par les Turcs en 1665. Ils se replièrent alors pour partie en Italie et pour partie et concernant celle qui s'allia avec les Vatimbella sur l’île de Mykonos où ils devinrent une des deux grandes familles de l’île, se partageant les fonctions officielles et électives.

Une partie de la famille Gripari se rendit ensuite en Egypte et à Alexandrie. Mais il n’est pas sûr que Nicolas Vatimbella et Marietta Gripari se rencontrèrent en Egypte. Il semble qu’ils se soient plutôt rencontrés à Athènes où ils faisaient leurs études.



arbre généalogique Gripari
Le plus vieil ancêtre de la famille Gripari est cité dans un document de 1182 (un Pietro Gripari) qui vivait en Sicile. Concernant la famille directe, l'arbre généalogique remonte jusqu'à un Dimitri qui mourut en 1335. (Pour plus d'information sur la famille Gripari cliquez ici)

Du mariage de Nicolas et Marietta naquirent trois enfants. Aristarque (1916-1990), l’aîné de la famille, Maro, la fille, artiste-peintre dont des tableaux sont exposés dans des muséees, et Jean, le petit dernier qui fut tué à 22 ans lors de la Deuxième guerre mondiale où son avion fut abattu au-dessus de la Crète par la DCA allemande alors que le conflit était terminé, ce qu’ignoraient les soldats allemands… Quant à Aristarque, il fit la guerre comme volontaire de l’armée hellénique du Moyen Orient. Après avoir fait l’école des officiers, il devint lieutenant d’Infanterie et officier de liaison avec les armées britanniques. Il participa à des batailles de la campagne du Désert et notamment à la seconde bataille d’El Alamein en 1942 (lire ici). Il fut également attaché au vice-président du conseil des ministres du gouvernement grec en exil à Alexandrie.

Aristarque dit Aris Vatimbella naquit le 3 février 1916 à Alexandrie. Il fit ses études au Gymnase (lycée) Averoff d’Alexandrie de 1929 à 1932 et partit faire ses études universitaires en France, à Paris, à la faculté du Panthéon, de 1933 à 1936 puis à Montpellier, en 1937. Comme beaucoup d’élites d’Egypte, la famille Vatimbella était francophone en réaction à la présence coloniale britannique (même si Aris devint très anglophile et le demeura toute sa vie).

Aris fit des études de droit et devint avocat dans le cabinet de son père, Vatimbella et Catzeflis, de 1937 à 1955. Mais il ne fut jamais accepté par son père et décida, après une dizaine d’années de collaboration, de partir. Il se rendit en France, à Paris, où il rencontra Nicole Pommery avec laquelle il se maria en 1956.

De se mariage naquirent, à Monaco, Nicolas (1956) et Alexandre (1958). Il s’était établi à Monaco, car le père de sa femme, Louis Pommery, avait trouvé du travail à son gendre chez Onassis, un célèbre armateur grec dont les bureaux étaient alors installés dans la principauté. Ensuite, il s’installa comme avocat-traducteur lorsque Onassis décida de quitter Monaco et demeura dans le Sud de la France. Là, il exerça son activité professionnelle, fut ami avec le prince Rainier III dont il fut un conseiller. De plus, il s’occupa de sport en créant, notamment, le club de squash de la principauté mais aussi en tant qu'organisateur de plusieurs événements sportifs. Aris était un grand sportif. Il était champion de voile et de ski (il fit les jeux olympiques d’hiver à Cortina en 1956 sous les couleurs grecques, participant aux épreuves de descente, de slalom et de slalom géant). Il pratiquait fort bien le squash et le tennis ainsi que la Cresta, un sport créé par les Anglais, qui se pratique couché à plat ventre sur une luge appelée le skeleton sur laquelle on descend sur une piste glacée qui se trouve dans la station de sports d’hiver de Saint-Moritz. Mais il avait pratiqué beaucoup d’autres sports comme le hockey-sur-glace ou le water-polo. A noter qu’il fut vice-président de la fédération européenne de squash à la fin des années 1970. De même, Aris Vatimbella a écrit, au cours de sa vie, de nombreux articles pour des journaux et des revues.


De la famille Pommery, nous avons beaucoup de renseignements. Ce sont des Français originaires de Picardie, de l’Aisne en particulier. Un lieu-dit Pommery (Pumeri en 1230, Pumerie en 1384, Pomerie en 1772, c’est-à-dire verger, ou, pour les personnes, marchand de fruits) existe d’ailleurs et de très nombreux Pommery, en particulier de la famille, sont originaires de Moy-de-l’Aisne et de Brissy (village rattaché depuis le début du XX° siècle à Moy).

Les Pommery sont, aussi loin que remonte les informations actuelles, des agriculteurs possédant des linières, c’est-à-dire des champs de lin. Ce sont donc des liniers, des cultivateurs de lin, plante très en vogue pendant longtemps pour réaliser les vêtements.

Louis Célestin Virgile Pommery
Louis Célestin Virgile Pommery (1841-1912) qui se faisait appeler Virgile Pommery vint s’établir à Saint-Quentin, une des grandes villes de l’Aisne. Là, il reprit la fabrique Falize de devants de chemise avec piquets. A l’époque, les hommes portaient des chemises blanches dont non seulement le col et les manchettes mais aussi le devant étaient empesés et glacés. Il en vendit beaucoup en France mais aussi à l’étranger et prospéra pendant de nombreuses années. Malheureusement, après 1900, la mode changea et faute de s’en être rendu compte à temps, Virgile Pommery, qui a employé jusqu’à une trentaine d’ouvrières et d’employés, dut fermer son usine.

Virgile s’était marié avec Berthe Pommery (1853-1933) qui était, sans doute, une vague cousine encore que le nombre de Pommery soit très nombreux dans la région. Elle était la fille de Joseph Constant Pommery, fondé de pouvoir dans une banque locale de Saint-Quentin, et d’Antoinette Nové, fille d’un cafetier, Antoine Nové et sa femme, Salabeuge Derbois. De l’union de Virgile et Berthe naquirent deux enfants, Jean, l’aîné et Louis, le cadet.

Louis Pommery (1893-1962) naquit à Saint-Quentin (lire ici ses souvenirs de la ville picarde). Il fit la guerre de 1914-1918 (lire ici) où il fut blessé assez rapidement, le 20 novembre 1914. Cette blessure lui valut une mutation, le 23 mars 1915, au service automobile du 132° Régiment d’artillerie où il termina la guerre après avoir été de l’équipée inutile de Salonique. Après la guerre, il finit ses études à Paris et fut licencié en droit (il vendit sa thèse de doctorat pour nourrir sa famille) et diplômé de Sciences po. Ensuite, il fut journaliste financier puis travailla dans une banque. En 1929, il fut secrétaire général de la commission de l’assurance crédit et de 1930 à 1940, fondé de pouvoir à la banque Lazard. A partir de 1941, il devint directeur puis directeur général des Chargeurs Réunis. (lire ici le journal qu'il a tenu entre 1934 et 1945) A partir de 1946, il fut également directeur général de la compagnie maritime Sud atlantique et à partir de 1957, Pdg de l’Union aréo-maritime (UAT). Professeur à Sciences Po et à HEC, il est l’auteur de deux livres ayant fait autorité, «Changes et monnaie» et «Aperçu d’histoire économique contemporaine». (Pour plus d'information sur la famille Pommery cliquez ici)

Marie & Henri Levé
Louis Pommery s’est marié avec Louise Levé (1893-1979). Celle-ci venait d’une famille de propriétaires terriens, de notables (on y compte des magistrats et des officiers militaires) et de rentiers. Son père, Henri (1866-1932) gérait ses terres et ses emprunts russes. La guerre de 1914-1918 dévasta ses terres et le ruina avec la Révolution russe et le non-remboursement des emprunts. Avec sa femme, Marie, née Legrand, (1873-1924), ils vivaient dans une grande demeure à Urvillers (Aisne) que l’on appelait le château. Ils vinrent s’établir à Saint-Quentin, le temps que leurs enfants, Louise et Eugène (né en 1885) fassent leurs études. (Pour plus d'information sur la famille Levé cliquez ici)
 
arbre généalogique de Hesselin
Henri portait le nom de Levé de Hesselin car son grand-père s’était marié avec Marie de Hesselin, la dernière descendante de la famille de Hesselin, originaire de Picardie. Claude de Hesselin avait été anobli en l’an 1597 par le roi Henri-le-Grand (Henri IV) pour "services militaires". (Pour plus d'information sur la famille de Hesselin cliquez ici)

C’est à Saint-Quentin que Louise Levé rencontra, à 16 ans, celui qui allait devenir son mari et son unique amour, Louis Pommery qui était un ami d’Eugène. Ils se fiancèrent quelques jours avant le début de la Première Guerre mondiale puis, après, vinrent s’établir à Paris. De leur union, naquirent deux filles, Monique (née à Neuilly-sur-Seine en 1921 et morte à Paris en 2011) et Nicole (née en 1927 à Neuilly-sur-Seine).


Lorsque, Nicole Pommery, se maria avec Aristarque Vatimbella, il s’agissait de son deuxième mariage puisqu’elle avait été mariée avec Laurent Carteret, à l’âge de 16 ans. Elle avait eu, de cette union, deux filles, Barbara (née à Paris en 1946) et Laura (née à Paris en 1948).

Nicolas Vatimbella, né en 1956, est père de cinq enfants, une fille (Winnie) et quatre garçons (Nathaniel, Zaccharie, Balthazar, Tobie) et grand-père d'une fille (Céleste).

Alexandre Vatimbella, né en 1958, est père de quatre enfants, trois filles (Alexandra, Sarah, Calypso) et d'un garçon (Matthieu) ainsi que grand-père de trois petits-enfants (une fille, Calysta, et deux garçons, Nikita et Eloann).
 
 

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